architecture

Références et articles en design et innovation sociale

  • articles et vidéo de l’association Pennarweb dont la conférence en ligne de l’architecte Philippe Madec

https://www.designiscapital.com/videos/page/2

et « design, éthique et soin »

et enfin le site de « lille-capitale du design« 

The miner’s house – études de cas

Un projet de Paolo Cascone avec le collectif CODESIGNLAB pour la triennale RECYPROCITY (Liège, 2018)

Quelques mots clés : « design as a process », « design social », « design environnemental »

La Fragilité vue par COdesignLab

L’étude de cas proposée est un projet de Paolo Cascone avec le COdesignLab (Italie) proposé pour la biennale Design Innovation sociale « Reciprocity » à Liège en 2018.

Capture d’écran 2020-09-07 à 17.09.06

Ici : le sujet ETUDE DE CAS MINOR-S HOUSE

Et des sites utiles :

 

résistance 1 : main basse sur la ville …

Ce jour je profite de mon droit de retrait du travail, pour nourrir ce blog d’articles et autres où apparaissent mes centres d’intérêt  ; le partage et la vie dans l’espace public, celui qui existe entre le bâti ou parfois inclus dedans, est une question fondamentale du vivre ensemble à mes yeux.

Les analyses et les réflexions développées sont, au delà d’une première étape de résistance contre la déshumanisation de nos vies, des pistes à investir de façon créatives et généreuses en ces temps  de « bonnes résolutions » pour 2020…

Bonne lecture (je reproduis intégralement l’article de USBEK ET RICA) et bon visionnage du documentaire d’Arte.

 

Main mise sur les villes, Documentaire sur la question du droit à la ville et la démocratie urbaine réalisé par Claire Laborey (2013), Arte

 

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« L’architecture du mépris a des effets sur nous tous » article Uzbek et Rica, de Vincent Edin

Dans Reprendre Place, contre une architecture du mépris (Payot, 2019) le philosophe et maître de conférences à l’université de Strasbourg Mickaël Labbé pointe les dérives d’un mouvement de privatisation de l’espace urbain qui réduit le nombre de personnes pouvant obtenir un « droit à la ville ».

 

Usbek & Rica : Le sous-titre de votre livre emploie un terme très fort, « l’architecture du mépris ». Comment du simple mobilier et des décisions urbaines peuvent-elles « mépriser » et qui sont les victimes de cet ostracisme ?

Mickaël Labbé : Cette formule n’est pas de moi, mais de Georges Pérec dans son livre Espèces d’espaces (éd. Galilée, 1974). Elle correspond aussi aux travaux du philosophe et sociologue allemand Axel Honneth, qui travaille sur la notion de reconnaissance. Ce que j’observe récemment, c’est qu’un certain design, un mobilier urbain et une production de formes urbaines agissent sur la formation d’identités individuelles et collectives. Au fond, un certain type d’architecture agit sur les identités et façonne ceux qui se sentent légitimes, ou non, à être là.

Souvent, on analyse la ville en des termes macroscopiques : les inégalités économiques, la répartition par CSP, ou encore l’injustice spatiale et juridique. Cela donne un type de vision qui n’est pas inexact, mais on passe à côté d’un mode d’action négatif des villes. Ces dernières sont obsédées par leur image, qui est leur outil de valorisation le plus important. Aussi, puisqu’elles ne peuvent ouvertement ségréger, elles signifient spatialement le mépris par une architecture excluante. Cela peut passer par du mobilier urbain, type banc à SDF, soit par de larges projets privatisés comme EuropaCity (dont l’abandon a été acté en novembre dernier par le gouvernement, ndlr) ou le réaménagement de la Gare du Nord, où on signifie aux individus que ce qui nous intéresse chez eux, c’est leur part de consommateur. Dès lors qu’ils ne peuvent l’être car ils sont insolvables, ils comprennent de facto qu’ils ne sont pas les bienvenus.

Mickaël Labbé

 

Les populations « ciblées » sont donc plus larges que les seuls SDF ou les réfugiés ?  

Le banc anti-SDF est un exemple paradigmatique. Le Camden bench, par exemple, qui a été commandé par les autorités locales (dans le quartier de Camden, à Londres) en 2012 n’est pas du tout confortable et empêche les SDF de dormir dessus. En outre, ses striures centrales font fuir les skateurs. On ne peut pas squatter, graffer, traîner dessus : en somme, ce mobilier assimile les jeunes à des groupes qui potentiellement vont faire des conneries et dégrader le mobilier. La ville devrait leur offrir un terrain d’aventures, un moyen de former des groupes, et au contraire elle rejette les jeunes.

Au fond, cette « architecture du mépris » a des effets sur nous tous, des effets complètement irrationnels : la ville est moins accueillante, moins fonctionnelle, les marginaux ne peuvent pas squatter et les familles ne peuvent même pas se poser. Ce mobilier nous oblige à être dans le mouvement perpétuel et nous empêche de nous arrêter pour former un « nous » confiant, accueillant. Évidemment, ces choix urbains ne sont pas neutres : ils reflètent un modèle social fondé sur l’évitement des conflits et la maîtrise des débordements.

Le principe du contrôle peut s’entendre dans une logique autoritariste, mais n’est-il pas injustifiable politiquement ?

Vous touchez là un grand mystère ! C’est effectivement injustifiable, insoutenable pour quasiment tous les élus. Notamment, parce que ça ne sert aucune logique : ce type de mobilier ne va régler aucun problème de précarité ou d’isolement, et pourtant il est de plus en plus présent. J’ai récemment échangé avec le directeur de l’urbanisme de Strasbourg au sujet de la place d’Austerlitz, qui a été envahi par ce type d’équipements, et je lui ai demandé qui était responsable de ça. Il m’a répondu, sans doute sincèrement, qu’il ne savait pas. Il y a une forme de déresponsabilisation et d’effet de logique folle, où la décision n’est pas assignable à quelqu’un de précis. C’est très kafkaïen ! En investiguant, on peut réussir à trouver, dans le cas de décisions très localisées, s’il s’agit d’apports publics ou privés. Mais la plupart du temps, les responsables restent non identifiés. Le néolibéralisme produit parfois des effets injustifiables pour la démocratie, qu’il n’assume pas, ce qui pose des problèmes politiques insolubles.

Une des autres causes de la réduction du « droit à la ville » pour ses habitants est liée à la hausse du tourisme, qui mène à un renversement de l’accueil avec des vagues de « tourismophobie ». À quand remonte ce phénomène et quelle ampleur prend-t-il ? 

Il n’y a pas de carbone 14 du phénomène, mais disons que cela a émergé dans des grandes villes dans les années 2000. Alors, si on reprend la question posée par le sociologue Henri Lefebvre – « Qui a droit à la ville ? » -, la part des habitants historiques décroit de façon drastique à cause de la flambée des prix du foncier. Mécaniquement, les habitants sont expulsés plus loin au profit d’espaces d’accueil de touristes, plus solvables. Or, la ville est un lieu d’usages multiples et d’abord un endroit où on habite. Quand, sous l’effet de la marchandisation et de la valorisation, on délaisse le bien commun et on pense l’urbain de façon privatisable, les habitants locaux se sentent dépossédés, en perte de reconnaissance, et se rebellent.

« Il n’y a pas seulement un « sentiment » de dépossession du droit à la ville, cette dépossession existe bel et bien »

Il ne s’agit pas de dire que les touristes sont malvenus : ça n’est ni de la xénophobie ni de l’atteinte aux touristes, mais une lutte contre le sur-tourisme et ses pratiques. On rentre dans un « eux » contre « nous » car l’issue est, mathématiquement, très inquiétante : les villes les plus attractives touristiquement perdent des habitants. Je pense à Venise, bien sûr, passée de près de 175 000 habitants dans les années 1950 à 55 000 aujourd’hui. Mais aussi Paris, qui perd 15 000 habitants par an depuis cinq ans… Il n’y a pas seulement un « sentiment » de dépossession du droit à la ville, cette dépossession existe bel et bien.

Reprendre Place, contre l’architecture du mépris, Mickaël Labbé, Ed. Payot, 2019

 

Au-delà du mobilier, vous pointez deux « dérives » urbanistiques, les gated communities et les business improvement districts. Pouvez-vous nous les présenter ?

Les « Business Improvment Districts » (BID) sont en expansion partout dans le monde. J’invite les lecteurs à taper ce sigle dans Google images pour découvrir une architecture standardisée, arasée, sans aspérité ni diversité, qui gagne malheureusement du terrain chaque jour. Sur ce sujet, une des grandes découvertes pour moi a été le magistral documentaire de Frederick Wiseman, In Jackson Heights (2015), sur la vie de ce quartier de Brooklyn transfigurée par un BID. Il s’agit de partenariats public-privé qui essaiment partout dans le monde. Les BID, comme les bancs pour SDF, sont des symptômes des nouvelles pathologies de la ville. Avec les BID, on perd ce qui fait l’essence de la ville, l’altérité. On la perd de façon non démocratique et on aboutit à l’archipélisation décrite par Jérôme Fourquet, c’est-à-dire à une ville atomisée.

Dans le cas de Jackson Heights, on a abouti à un effet d’exclusion massif des gens qui ont fait la richesse de ce quartier. Jadis, on y parlait 147 langues, il y avait des échoppes, des commerçants, des atmosphères urbaines introuvables ailleurs qui ont, justement, attiré les promoteurs. Et ceci au prix de mécanismes fondamentalement anti-démocratiques, avec des réunions publiques tenues en catimini et du consentement obtenu par défaut qui s’est soldé par des expulsions des habitants ne pouvant continuer à vivre dans le nouveau quartier.

Jackson Heights n’est donc pas un phénomène isolé. Dans Main mise sur la ville (documentaire en ligne), on voit ces mécanismes à l’œuvre partout, en premier lieu à Hambourg, en Allemagne, où des habitants sont en lutte contre un BID qui va prendre des décisions de mise en forme du quartier, très rectiligne et sécuritaire, en contradiction avec la vie historique du quartier. Ce genre d’agressions urbaines contre les habitants se retrouvent des États-Unis au Royaume Uni en passant par l’Afrique du Sud, c’est un vrai fléau.

Dans votre livre, vous dites aussi que nous ne sommes pas condamnés à subir ce mépris. Comment aller vers une architecture de la convivialité ? 

Il n’y a pas de réponse unique, mais beaucoup d’initiatives sont à l’œuvre actuellement pour contrer ces phénomènes, chez les habitants comme les architectes. Nous avons eu récemment de très beaux exemples de droit à la ville défensifs. EuropaCity, qui a reculé au point d’être annulé, c’est preuve que la mobilisation et l’argumentation peuvent prévaloir. Il y a aussi la mobilisation autour du réaménagement de la gare du Nord. En faisant de nos villes des ZAD, on peut contrecarrer l’architecture du mépris. En alertant contre le mobilier anti-SDF, on peut parvenir à le faire retirer.

D’autre part, en droit à la ville positif, du jardin partagé à la friche, des tas d’exemples d’urbanisme collectif et commun pollinisent. Les élus ne doivent pas instrumentaliser ces projets mais leur laisser une chance. Au-delà du résultat, c’est le processus de ces projets qui compte. Ils sont trop souvent utilisés de façon temporaire, pourquoi ne pas les pérenniser ? Même si c’est un peu bancal, un peu moche, un peu imparfait, il se tisse des liens, des processus sociaux très intéressants. Les gens qui sont venus dans ces lieux rentreront changés chez eux, et c’est l’essentiel. Enfin, des collectifs d’architectes, à rebours des archistars du secteur, font des choses très intéressantes pour retisser du commun. Je pense par exemple au collectif ETC, qui valorise la logique du chantier et réaménage l’espace directement avec les populations, ce qui valorise les lieux et permet aux populations de s’approprier ces espaces. Mettre en avant ce genre de démarche inclusives, c’est un choix de société. Mais c’est possible.

Photo de groupe du collectif Etc. Source : collectifetc.com

 

Pourquoi avoir placé votre épilogue sous le sceau de la tristesse à Notre-Dame-de-Paris post-incendie ? 

Parce que cet événement nous a rappelé comment l’architecture est présente dans nos vies et nos identités, comment elle nous façonne bien plus que nous n’en avons conscience. Cet incendie d’un bâtiment extraordinaire pourra peut-être nous amener à prendre davantage soin de lieux plus ordinaires et familiers qui sont les nôtres. Par ailleurs, cela m’a aussi rappelé la puissance de la réunion. Post-incendie, il n’y eut aucun antagonisme : touristes, parisiens ou provinciaux, croyants ou non, il n’y eut pas de « eux » contre « nous », mais une grande réunion autour d’un bâtiment. Et le fait que l’on débatte sans fin de la façon de reconstruire Notre-Dame-de-Paris prouve que l’architecture nous façonne, et donc qu’il faut repolitiser et resocialiser cette discipline.

 

L’espace public (part1)

Qu’est-ce que l’espace public?

L’espace public ( in Wikipedia) représente dans les sociétés humaines, en particulier urbaines, l’ensemble des espaces de passage et de rassemblement qui sont à l’usage de tous. Ils appartiennent soit à l’État (domaine public), soit à aucune entité juridique et morale de droit ou, exceptionnellement, au domaine privé.

Son évolution historique est généralement le fil conducteur selon lequel est décrite l’histoire urbaine ; l’archéologie (villes proto-historiques), la cartographie comparée des villes, les écrits théoriques ont repéré les principaux modèles dont :

  • la ville grecque, le damier romain.
  • la ville coloniale romaine, française, américaine.
  • les figures et articulations renaissance ou baroques.
  • les réseaux de boulevards dans l’urbanisation haussmannienne.
  • les tracés Beaux-Arts, Art nouveau, Art déco.
  • les évolutions techniques principalement des modes de déplacement qui voient les villes adapter leurs espaces publics au chemin de fer, au tramway ou au métro et à l’automobile.

Cette adaptation entraîne une modélisation, dont les schémas post-haussmanniens (plan de Besmne pour l’extension de Bruxelles, vers 1860 notamment), les théories modernistes (séparation des 4 fonctions urbaines, indétermination de l’espace public).

Dans les cas extrêmes des grandes villes, cette adaptation réduit l’espace public à un espace monofonctionnel et technique.

Depuis les années 1980, les réflexions sur l’espace public urbain contemporain (voir plus loin) incluent un retour du piéton dans les préoccupations urbanistiques, et donc une évolution formelle qui lui donne une dimension (au moins) symbolique prépondérante : piétonniers, « zones trente » dans le Code de la Route belge, recours aux forum ou agora dans les créations d’espaces publics (années 1980).

L’espace public urbain est aussi un champ d’action régalien : organisation générale de la ville, interventions symboliques ou monumentales, planification, équipements urbains (ponts, rues, égouts). Le terme « urbanisme » est étroitement lié à l’expression du droit régalien sur la ville et à l’exercice de la transformation de l’espace public.

Simultanément, il est « champ de libertés » beaucoup plus larges que la liberté de circuler : liberté de manifestation, de parole, d’expression, de commercer. Ce champ se définit constitutionnellement, est restreint par les corps des lois, règlements et pratiques et forme le théâtre de l’opposition au pouvoir, de la plupart des conflits politiques et sociaux (sit-in, occupations de carrefours, dérives de fêtes collectives, volontés de s’identifier, de s’approprier les espaces publics d’une ville ou d’une zone.

L’espace public constitue l’espace de vie collective de ses riverains (habitants, commerçants, artisans) et les formes locales de la vie collective le marquent de manière multiforme : l’aménagement, l’ambiance, la couleur et les décorations de la rue, les marchés, les activités économiques (vendeurs ambulants, étals) ou collectives (terrasses, jeux, processions, carnavals) préservent plus ou moins le statut social et l’anonymat de chacun, avec dans les villes une très grande variétés de situations (des ghettos homogènes aux zones les plus diversifiées).

La définition juridique ou partagée de l’espace public a beaucoup évolué dans l’espace et dans le temps, et continuera d’évoluer, dont probablement au niveau européen1

 

Des définitions et des questions et/ou premières pistes de réflexion.

Des situations et des usages alternatifs et éphémères.

Pistes :

  • L’art pour tous (article ICI).. les tricots urbainsfestival des architectures vives
  • performances urbaines (ICI) : « A travers la performance, nous cherchons à donner à vivre autrement un espace à ceux qui le fréquentent quotidiennement. Nous ne laissons pas de trace matérielle puisque notre principe n°1 est de quitter le lieu dans l’état ou nous l’avons trouvé. En revanche, une trace subsiste dans les esprits. Suite à nos « expériences », certains riverains viennent nous voir pour nous dire qu’ils ne verraient plus jamais un espace sur lequel nous sommes intervenu de la même manière! »cf collectif BIM
  • espaces publics mobiles éphémère avec L’atelier Bivouac ou ETC
  • les services urbains éphémères

 

Définition du Larousse : URBANISME et organisation urbaine

Evénements possibles :

 

quelques images (metz, bordeaux, toulouse, montauban, colomier, montréal, tokyo)

 

 

ceci n’est pas un poisson d’avril

…mais c’est juste énorme : sortie de résidence de la C111 (aurélien body) au théâtre de la cité, journée européenne des artisans d’art et semaine de l’étudiant !!!!! et autres bien sûr !!!

 

  • les journées européennes des métiers des arts – incontournables !!!!!!!!!!!

c’est juste exceptionnel  : des professionnels généreux, créatifs, pointus et ouverts, que vous aurez plaisir à rencontrer et que vous encouragerez également par votre visite et l’intérêt que vous leurs portez ! bref, allez-y !

ICI le lien vers le site ( à toulouse et partout en europe à partir de mercredi )

 

  • le 6 et le 20 avril au FABLAB

Fonctionnement des ATELIERS
– Je vous accueille pour vous présenter le Fablab, la table de bricolage et pour que chacun présente ses compétences.
Vous pouvez être observateur, bricoleur, montrer une maquette que vous souhaitez faire ou lancer un appel pour avoir des conseils?
apportez vos ordinateurs, matériaux et repas pour le midi.
– Des ateliers se feront en parallèle pour créer du lien et partager nos expériences 😀
– Les dates proposées sont samedi 2 mars, 23 mars, 6 avril et 20 avril.
Selon vos idées ou besoins, on peut aussi proposer le 9 mars, 16 mars, 30 mars et 13 avril!
Vers Mai, je transmettrai vos témoignages à la FedeGN pour présenter ou citer vos créations en vue d’une publication!

Thèmes des ATELIERS
– Réparation d’armes de GN et échange de compétences (plastazote, latex, jonc en fibre de verre).
Invitation de joueurs de Trollballs
Invitation de membre de Grabuge, Association de GN de Carcassonne, qui avait utilisé en 2018, une tunique de dragon rouge aux écailles imprimées en 3D.
Invitation de Guilhem qui fabrique des costumes et accessoires de GN/cosplay, dont impression 3D.
– Conception d’ailes à déploiement hydraulique. Vous êtes les bienvenus pour voir et aider 🙂
Invitation de l’artiste Tilia Weevers experte en création de costume unique à base de plumes.
Crafteuses invitées: Lydia et Vaness des Ailes de Nemesis.
Il y a également une demande de conception d’ailes de fées.
– Jeux de Figurines (dans le centre Toulousain, vers avril)
Pour échanger des compétences sur la conceptions de moules en silicones, techniques de peintures et matériaux.
Invitation ou ateliers avec le soutien d’Univers Parallèles et Sabretache (en cours).

  • [LES HABITS FROIDS] – du 10 au 12 à 18h30
    Atelier mené par Compagnie 111 – Aurélien Bory avec les comédien.ne.s de l’AtelierCité et les circassien.ne.s du Lido Toulouse, centre national des arts du cirque de Toulouse.Le théâtre garde toujours quelque part dans une pièce remise les vieux costumes. Il attendent dans le noir. Ils sont suspendus. À moitié morts. En veille. Ils ont été soignés, nettoyés, reprisés, repassés. Ils sont prêts. Même si les empreintes des corps passés sont depuis longtemps refroidies, ils espèrent encore la chaleur. Ils espèrent les corps, ils espèrent leur frottement. Ils espèrent même le tiraillement, les étirements, les accrocs, les accidents, la chute. Les habits tombent, à condition qu’ils soient encore portés. Ils attendent la reprise ou le reclassement. Ils espèrent leur destin. Les voici les mues, les traces des personnages, les peaux mortes, les fantômes. Les voici les acteurs, et voici leurs corps. Comment peuvent-ils entrer sous ces couches de tissus, témoins des pièces oubliées ? Comment réécrire une histoire dans l’enveloppe d’une autre histoire ? Le théâtre renaît de ses pièces mortes. Le théâtre est oublié. Nous pouvons toujours tenter de danser par dessus ses traces. Aurélien Bory
    ENTRÉE(S) LIBRE(S) – Présentations publiques sur réservation au 05 34 45 05 05 ou par mail : a.marty@theatre-cite.com

 

  • conférence le 10 avril à 18h à l’école d’archi : LOCAL/GLOBAL Conférence #6
    « la singularité de l’évidence » 360° architecture [M. Bekkoucha et L. Gaudu]
    L’élaboration du projet d’architecture réside pour nous, dans la traversée d’une expérience, nourrie d’intuitions, d’observations et d’expérimentations qui instruisent de l’intérieur, au fil d’un raisonnement, la dimension de sa finalité construite.
    En d’autres termes, on ne peut réduire l’exploration intense de la question ouverte par le projet, à une préméditation de son résultat, par postulat préthéorique, ou autres préfigurations stylistiques déterminées à priori, sans risquer d’ignorer l’identité singulière qu’il aurait mérité.
    Dans notre travail, l’expérimentation autour d’un faisceau de thèmes ou préoccupations omniprésentes, et placés dans des situations toujours différentes, permet d’introduire une grande variété d’interprétations.
    Des ressemblances, des dissonances, des modulations et des nuances, se font écho à travers les différentes configurations de projet, pour mettre en valeur les traits distinctifs de chaque situation donnée.
    Succession renouvelée des questionnements projectuels, et différenciation des réponses formulées, affirment tout autant la constance des thèmes abordés, que la grande liberté développée dans les architectures produites.

 

  • jeudi 11 avril de 18h à 23h  : La nuit des étudiants – Block party au musée !La nuit des étudiants 2019 est placée sous le signe du hip-hop
    Alors on vous donne rendez-vous au musée des Augustins le 11 Avril pour LA Block Party Toulousaine !Une Block Party ? 🤔
    Apparues dans les quartiers populaires new yorkais durant les années 70, les block party sont des soirées organisées dans les rues par les habitants. Ces soirées ont servies de base à l’éclosion de la culture Hip Hop.

    18h30- Eglise
    Spectacle hip-hop avec les enfants de Negreneys (entrées réservées aux familles)
    19h / 22h -Grand cloître
    DJ set Block Party par Dj Mayday : rétrospective musicale du Hip-Hop, de ses origines à aujourd’hui.
    Création musicale en live avec Space Sample Sessions Toulouse
    22h-Concert du groupe Iddé Airiess (rap acoustique) dans le Grand Cloître
    22h30-Eglise
    Extrait du spectacle « Réminiscence » du Cercle des danseurs disparus.es danseurs disparus. mise en scène par Ifrah Zerarda

    🎊 Et en continu 🎊
    • Petites conversations autour des œuvres du musée
    • Installation artistique par IMER B&P
    • Atelier de sérigraphie animé par les étudiants du BTS design graphique des Arènes
    • Exposition mimesis* – Déplacement (institut supérieur des arts de Toulouse département beaux-arts)
    • Buvette et restauration ( Le Brooklyn )
    • Stand Association Sozinho
    • Customisation de sneakers avec Julien Pagès

    🎊 INFORMATIONS PRATIQUES 🎊
    Soirée en accès libre, gratuite à destination des étudiants.
    Jeudi 11 avril 2019 – 18h30 > 23h
    Musée des Augustins 21, rue de Metz 31000 Toulouse

    Une soirée originale organisée avec de nombreux partenaires : l’Association Sozinho, le Cercle des danseurs disparus., Iddé Airiessriess, le BTS design graphique du lycée des Arènes et les étudiants en art du musée.

  • le vendredi 12 et le samedi 13 à la Cartoucherie, journées d’étude  : Détournements de fabriques : de l’industrie au culturelNous souhaitons poser les questions de transformation d’un lieu à des fins artistiques / culturelles.Questionner et donner à voir la vie de ces friches artistiques/culturelles, lieux intermédiaires, hybrides, nouveaux territoires de l’art et/ou autres tiers-lieux.
    Programme Vendredi :
    18h : Ouverture des portes
    18h30 : Vidéo inédite des archives de l’INA – Ré-habilitation de friches
    18h45 : Intervention flash des anciens Cartouchiers
    19h – 21h : Table ronde animée par Joël Lecussan sur l’expérience de la transformation, l’occupation, la réhabilitation d’anciennes usines ou lieux en friche pour en faire des espaces artistiques/culturels.

    Samedi :
    10h – 12h : Visites guidées de l’exposition The Bullet Factory avec les Anciens Cartouchiers et les artistes de Cisart
    14h Conférence «Chantier Culturel» de Chloé Bodart
    14h30 Atelier «Quel chantier culturel pour la Cartoucherie ?» animé par Palanca et le cabinet d’architecte Construire.
    17h -18h : Restitution performée d’un laboratoire de danse – Lucia Soto – de la Cie REBISH
    18h30 : Projection de «La Mort en Seine» (Réal : Cathy Bruno-Capvert)
    19h30 : Echanges avec la Réalisatrice Cathy Bruno-Capvert

  • le mardi 16 avril à 18H30 : Vernissage expo « Structures et Lumières » au Centre des Cultures de l’Habiter [CCHa]
    5 rue Saint-Pantaléon, Toulouse

Exposition de photographies de DAVID BANKS
Architectures contemporaines et étude sur le sanctuaire de Lourdes.
Exposition proposée par Faire-Ville

David BANKS est un londonien qui, passionné depuis l’enfance par la photographie, en a fait sa profession.
Après avoir travaillé pour le monde de la mode, David Banks choisit de s’atteler à des sujets plus personnels.
Il se penche ainsi sur les différents aspects de la nature humaine mais s’intéresse également les lignes urbaines.

« En marchant dans les rues de Londres quand j’étais enfant, je regardais à travers mon viseur la ville. Londres était devenue claire et nette. En cherchant de l’air frais, j’ai eu tendance à regarder vers le ciel et mon œil découvrit des lignes verticales. Je ne savais pas que la ligne allait devenir ma principale inspiratrice et allait transformer mon regard à tout jamais. »

conférences, expos et vernissages du printemps ….

  • à partir du 17 mars : « Perplexe » d’Anais Barrachina, La Muse en Goguette, 68 chemin Boudou, 31140 Launaguet,
    (Peinture – Monotype – Aquarelle)
    Une sélection de mes derniers travaux autour de portraits de femmes, de leur place dans la société, de leur visibilité. Je vous invite à venir rencontrer ces « perplexes » qui se questionnent sur le pourquoi des choses.www.anaisbarrachina.com / www.anabarrachina.blogspot.fr

 

  • mardi 19 à 18h30 : Conférence au CHAA (Centre des Cultures de l’Habiter [CCHa]
    5 rue Saint-Pantaléon, Toulouse) de Pascal Gontier, architecte, enseignant-chercheur, Auteur de « Home », publié en 2018 aux éditions Muséo

    Pascal Gontier milite depuis plusieurs années pour un mode de conception architecturale de l’habitat ouvert et sur mesure.

    Cette méthode a vocation à permettre une implication des habitants dans la conception de leur cadre de vie, et jusqu’à l’expression même de leur identité particulière en façade conjointement avec l’ensemble des autres habitants d’un même immeuble.

  • à partir du 20 mars : Body Double // Répliqûre – Installation vidéo, de Brice Dellsperger et Michel Aubry

    La série des Body Double de Brice Dellsperger a pour motif obsessionnel le corps idéalisé au cinéma. Chaque Body Double rejoue une scène d’un film en introduisant un trouble dans le genre : tous les personnages sont interprétés par un seul acteur, le plus souvent travesti en femme. Par le prisme du cinéma, de la sculpture, du costume, Michel Aubry met en jeu des oeuvres emblématiques de la modernité et s’intéresse à la frontière entre original et copie. Revisitant des films français des années 30 et 40, il produit des Répliqûres, vidéos où chacun des rôles est joué aussi fidèlement que possible par deux interprètes.*Entrée libre* dans les galeries souterraines du théâtre (EXCEPTIONNEL)

    Vernissage le 20 mars à 18h30 au théâtre, en présence de Brice Dellsperger

    Lieux et horaires : Printemps de septembre (2 Quai de la Daurade) du mercredi au samedi de 12h00 à 18h00.

    Théâtre Garonne, tous les soirs de spectacle, à partir de 18h00 et les samedis à partir de 12h00.

 

 

  • Jeudi 21 mars 2019 à 18:30, Vernissage Triennale Estampadura 2019, à espace Saint Cyprien
    56, allées Charles-de-Fitte, 31300 Toulouse, Dans le cadre de la triennale de gravure contemporaine d’Estampadura : les artistes allemands (gravures), Olivier Subra (dessins et gravures)

  •  Vernissage double  le jeudi 21 mars 2019 de 18h00 à 20h30
    Anne Delrez «Recueils» et jacques Barbier «No comment»

    Anne Delrez a introduit très tôt dans sa pratique artistique une réflexion sur l’image pauvre et sans intention plastique. Ses collectes l’ont orientée vers les images venant de l’album de famille, du portefeuille, de la boîte à chaussure retrouvée dans un grenier. Elle cherche depuis une alternative pour ces images vouées à l’oubli, dont plus personne ne veut mais qui portent en elles un peu de notre histoire collective. Elle leur redonne vie et en souligne leur esthétique particulière. JM L
    Exposition présentée du 21 mars au 12 mai 2019
    en partenariat avec La Conserverie, un lieu d’archives, Conservatoire National de L’Album de Famille

    Jacques Barbier travaille avec les photographies perdues, oubliées, ratées, maculées, mutilées, mises au rebut. Il fréquente les bacs des brocanteurs, les poubelles, pour traquer et dénicher des images qui l’étonnent, l’émeuvent, l’interrogent. Il est tel un orpailleur à la recherche de pépites perdues dans les alluvions du temps. Chacune des images qu’il nous montre, a été choisie parmi des milliers d’autres. De l’accident et de l’involontaire, son œil avisé s’oppose à la perte et sait ramener des images à leur singularité, pour les ressusciter et mieux les unir… JML
    exposition présentée du 21 mars au 12 mai 2019

 

Lorsque Smoll est accueilli chez un adhérent c’est toujours l’occasion d’une présentation originale. L’hôte est un acteur essentiel de cette expérience. Il accueille, il rassemble, il propose la connivence, il capte l’attention, il participe avec Smoll à l’élaboration et l’orchestration de ce moment privilégié et inédit de création.
En pénétrant la sphère privée avec des dispositifs de participation et de médiation réinventés, souvent décalés, orchestrés par l’hôte et Smoll, la création contemporaine se manifeste, et se « consomme » autrement, à la recherche d’une dimension empathique aussi « extraordinaire » que familière partagée avec les invités, les artistes et le public.
Pour ce premier événement du printemps, c’est Christine Rousseau, fidèle adhérente depuis 2015, qui reçoit l’éditeur à Toulouse. Un samedi pour découvrir ou redécouvrir les artistes, les œuvres, les multiples, les objets et les projets qui font avancer Smoll. Un samedi unique à partager joyeusement, ponctué de micro événements tels que le défilé des éditions, les commentaires dérangés ou encore l’apéro bavard….

Avec Cécile de Cassagnac, Éric Choisy, Jacques Tison, Hélène Olive, Gérard Fabre, Patrick Meunier, Erin Mcgirr, Pascale Lefebvre, Jim Fauvet, les micro éditions, la Fabrik…

 

  • Samedi 23 mars 2019 de 11:00 à 17:00 Vernissage « Greenwashing » / Performance culinaire à a cuisine

    Esplanade du château, 82800 Nègrepelisse,Programme détaillé du samedi 23 mars :

    11h : Conférence de Xavier Antin

    12h : Vernissage / Performance culinaire des élèves de l’ ISCID – Institut Supérieur Couleur, Image, Design, encadrés par Lei Saito.

    Événements en partenariat avec le Syndicat de Défense de l’ Vin AOC Coteaux du Quercy.

    //// Gratuit / Tout public

    Dans la série des Passagères et dans le cadre Biennale Passage(s) Design, Arts & Transmission , organisée par l’Iscid de Montauban, sur le thème du « vert ».

    Samedi 23 mars, La cuisine propose de vous faire découvrir deux projets artistiques, mis en place dans le cadre de la biennale Passage(s), design, arts & transmission, organisée par l’Iscid de Montauban, sur le thème du « vert » :

    >> Une exposition intitulée « Greenwashing » réalisée par Xavier Antin et les élèves de l’Iscid de Montauban (présentée du 23 mars au 13 avril 2019).
    « Greenwashing », le terme qui titre l’exposition renvoie à la méthode de marketing qui consiste à communiquer en utilisant un argument écologique afin de « blanchir » ou de « verdir » l’image d’une entreprise. Il est ici revisité par Xavier Antin qui encadre, dans les murs du centre d’art, un workshop avec un groupe d’étudiants de l’Iscid de Montauban. Ce projet les invite à réinvestir pendant toute une semaine une technique ancienne et très codifiée, lié à la reliure : le papier marbré. Les motifs marbrés, imitant la pierre, sont obtenus par la flottation de couleurs à la surface de l’eau ou d’une solution visqueuse. Xavier Antin réalise avec les étudiants un certain nombre d’outils permettant de réactualiser le potentiel d’image créé par la technique de la marbrure.

    >> Une performance culinaire des éléves de l’Iscid de Montauban encadrés par Lei Saïto
    Ensemble ils proposent une performance qui fait suite à toute une semaine d’atelier à La cuisine.
    En résonance avec le thème de cette édition, l’artiste proposera un jardin comestible et organique. Les verdures, les rochers et de la terre en matières et recettes différentes, en explorant des produits locaux et biologiques. Le public va être invité à savourer ce nouveau jardin délicieux.

 

 

  • mardi 28 mars ( 18h) Conférence / D’une ville à l’autre [Pierre Roca d’Huyteza] à Ecole nationale supérieure d’architecture de Toulouse 83 rue Aristide Maillol BP 10629, 31106 Toulouse, LOCAL/GLOBAL Conférence #4Saint Félix Lauragais, l’architecture du sol
    D’une ville à l’autreDurant le siècle dernier, l’espace public est resté un impensé des architectes, relégué au rang d’objet technique.
    Depuis quelques décennies, l’aménagement urbain semble redevenir, de temps à autre, un objet d’architecture.
    Mais, au final, qu’est-ce que cela implique ?( les autres conférences  :
    3 avril 2019 : Laurens Loustau
    10 avril 2019 : 360°
    17 avril 2019 : OECO Architectes)

des idées pour avant et après les vacances…

  • jeudi 21 février (soir)  : Une exposition inattendue, dédiée aux Concepteurs de façades et Prescripteurs le 21 février 2019

Découvrez cette collection au travers d’un événement original laissant toute place à l’expression des sens.Centre des congrès Pierre Baudis, entrée libre de 18h30 à 21h30. Une scénographie originale

Hors Standard

Couleurs, matières, formes, jeux de lumières… plongez au cœur de la collection par la découverte sensorielle des 3 univers proposés.

Une exposition éphémère

Architectes et designers, cet événement est conçu pour vous ! Venez échanger sur le thème des possibilités esthétiques en façade.

Au Centre de Congrès Pierre Baudis (11 Esplanade Compans Caffarelli)

inscription : ICI

 

 

 

  • stage estampe et façonnage : le 4 mars à Bonnefoy, par Anais Barrachina// Stages en demi-journées sur une semaine //
    Du 4 au 8 mars
    7/10 ans ⇒ de 10h à 12h / 25€ / 10 places
    Dès 11 ans ⇒ de 14h à 16h30 / 35€ / 10 places

    « Je crée mon livre de A à Z »
    Travail d’écriture et d’illustration en monotype ou en linogravure, calligraphie en impression ou encore reliure à la japonaise, chaque participant découvrira ces techniques ancestrales tout en développant sa créativité.
    Un temps pour aborder des thèmes comme les super-héro(ïnes), les différences filles/garçons,.. autant d’invitations à laisser libre cours à son imagination et à mettre à mal les préjugés ou idées reçues.
    Organisé dans le cadre de la Semaine égalité Femmes-Hommes .

    Animé par Anais Barrachina, illustratrice et relieuse, membre de l’association Estampadura.
    http://www.anaisbarrachina.com

    Stage en lien avec l’exposition
    Triennale européenne de l’Estampe contemporaine à l’Espace Bonnefoy du 22/02 au 21/03.

    L’inscription se fait directement auprès de l’accueil de l’Espace Bonnefoy 4 rue du Faubourg Bonnefoy 31500 TOULOUSE
    Du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 18h30
    Le samedi de 10h à 12h30

 

  • Stages les 16  et 30 mars à Bellegarde dont un avec SOIA

RDV de L’ARCHITECTURE …

PROGRAMME ICI : RVHIV-PROG-3

Dans le cadre de l’UE « Professionnalisation », une sortie est prévue le jeudi 22 novembre de 9H30 env à 14H aux Arches Marengo dans le bâtiment de la médiathèque José Cabanis (M° Jean Jaurès, voir site pour détails de l’adresse) pour assister à la 33e journée de l’architecture, en présence de nombreux professionnels et exposants.

 

Pour en savoir plus : ici

+ pièce jointe pour la liste des exposants (afin de vous renseigner un peu avant, comme des professionnels visitant un salon !)

L’objectif pour vous est d’approcher cette sphère du design et de pouvoir rencontrer des professionnels, découvrir des métiers, des activités méconnues de designer intégrés etc et de repérer les oreintations liées à vos disciplines, le cas échéant.

Une démarche de votre part faisant preuve d’ouverture, de curiosité et d’analyse de la démarche ET de la communication de projet, ainsi qu’une sensibilité à la question réellement opérationnelle (qui fait quoi ? dans le détail) des métiers est requise pour faire de cette sortie un apport personnel réel. Bref, soyez actifs et demandeurs !

Une conférence est prévue à 10H sur question de la mémoire dans les transformations urbaines et architecturales.

Puis vous pourrez visiter tranquillement les stands (archi, professionnels du bâtiment, designers…) et repérer d’éventuelles possibilités de stage susceptibles de vous plaire, car vous verrez d’autres sectreurs connexes à l’architecture. Sur chaque stand, des encas (et boissons) sont proposés et c’est l’occasion de discuter de façon « informelle ».

Prenez de quoi noter et dessiner, comme d’habitude pour exprimez sur papier et pour vous même ce qui vous interpelle, vous plaît (nature des projets,démarche, méthode, communication) à travers l’analyse de quelques exemples précis de projet afin que nous puissions en discuter . Bref, « gardez trace » pour élaborer ultérieurement un petit compte rendu personnel.Vous découvrirez, comme nous, si les photos sont autorisées.

(extrait du texte d’Hélène Templon pour innovation-espace)