architecture intérieure

Anne&Valentin

Anne&Valentin, c’est d’abord la rencontre de deux personnes; Anne et Valentin !

Tout commence en Septembre 1980 quand Valentin le hippie obtient

son diplôme d’opticien.

Les deux amoureux rêvent de pouvoir proposer des montures inclassables, originales et surtout, une philosophie de vente totalement dédiée au client et à ce qui fait la particularité de tout un chacun.

Dès l’ouverture de la boutique à Toulouse, on n’adapte pas les clients aux lunettes, on cherche plutôt à comprendre qui ils sont. De nouvelles questions s’imposent : comment vit la cliente, comment bouge le client, quelle sera la paire parfaite, celle qui lui ressemble. A l’époque, c’est une petite révolution.

Valentin gère la partie optique, Anne décore la boutique, assemble les vitrines, tous deux « commercent » avec conviction, le sourire en plus. Et ça marche, même si l’approche a rapidement ses limites, imposées par l’offre existante. Peu de modèles disponibles, trop peu de choix… L’ennui les guette… ? Qu’à cela ne tienne, Anne, à qui rien ne fait peur, s’improvise designer, Valentin à ses côtés. Elle dessine leurs premiers modèles, dont ils font faire les prototypes par un petit atelier.

En 1984, la première collection est lancée, baptisée sobrement Anne&Valentin.

Leurs créations sont originales, colorées et pleines de vie, mais tous deux gardent en tête leur priorité : des lunettes qui demeurent des objets ergonomiques, techniques, respectueux de ceux qui les portent.

 

Un premier aperçu de l’esprit Anne&Valentin à travers des videos présentant leur tooklook, véritable objet en soit.

 

L’esprit, au delà des gammes renouvelées chaque saison, va traverser tous les supports de communication (média et hors média).

Je vous poste ici en vrac des visuels de leur site internet, de leur magasins intégrés, des différents médias virtuels, des supports de communication papier, leur dernière collection et une conférence de Valéry Lorenzo, designer chez A&V (voir jusqu’à minute 11)

Boutiques de Paris (extérieur) et de Toulouse (intérieur et vitrine)

 

Pinterest … très mood board !

Carton d’invitation pour le salon SILMO (2019)

 

 

la video de Valéry Lorenzo : https://www.youtube.com/watch?v=OPsXeK9z950

45 sec  à min 11 min

La dernière collection  (janvier 2020) des « optiques » https://anneetvalentin.com/optique/

 

 

 

The Anne&Valentin brand is the lovechild of an optician couple from Toulouse, who sought to create original, well-designed frames for their friends. Today, we still claim a fierce independent spirit and an international, family-oriented state of mind. We have preserved and challenged our vision, built on high standards, research, and a love for the object itself. Our history evolves as we meet new, interesting, curious and surprising personalities along the way. Friends, customers, strangers on the street, emerging and confirmed artists constantly inspires our designers and teams. All these characters differ in age, style, genre. Each encounter we make renews our passion for our work. Our communication is above all managed through the concrete reality of our ideas, and through the extreme quality of our process. We imagine our models, visuals, interior decoration and shop furniture ourselves. Our collections are born in the inner dimension created by our ideas, our whims, our inspiration, and your interior universe. Our taste for culture and singularity continuously expands and connects. With five Anne&Valentin stores and 1500 carefully selected retailers, our brand is worn almost everywhere in the world today. Our frames are the expression of the humanity and kindness we wish to share with all of those that put their trust in us.

 

 

Constance Guisset, designer-euse, scénographe, graphiste, poétesse …

La créativité , les postures de recherches, travail ….

  • un article ICI
  • une conférence vidéo ICI sur le choix de la couleur dans le cadre des Rendez-vous de l’architecture (2016)

Les objets cultes, interactions objets/espace, objets et couleurs….

Les scénographies d’exposition….

Les scénographies de spectacles….

Graphismes et plus….

Le studio : 

 

 

Quelques objets … Vertigo (petite friture, 2010), Ankara (matière grise, 2014) et Cumulus (Nature et découvertes, 2015), autres ….

 

Architecture d’intérieure, où comment les objets (colorés) mis ensembles se confrontent à l’espace :

  • Palais de Tokyo, lieux d’accueil « trois conversations » ; « des îlots de convivialité dans un espace minéral, froid et difficile »
  • Novotel-groupe accord : espace d’accueil  pour « se sentir comme à la maison » avec choix d’associer des couleurs en gammes chromatique en transparence et en camaïeux

 

Les scénographie d’exposition à voir ICI et entre autre celle pour le mudac – musée de design et d’arts appliqués contemporains – Lausanne « ANIMA« 

Rétrospective de sept années de création, l’exposition anima – carte blanche à Constance Guisset invite à explorer un intérieur rempli de surprises. Le visiteur découvre deux appartements témoins meublés par la variété des créations du studio. Les deux espaces en miroir révèlent un mobilier presque identique, l’un en dégradés de gris et le second tout en couleurs. Ce dispositif nous ramène aux origines mêmes de ce terme. Le mot latin color vient de celare, cacher. Au Moyen Âge, la couleur était considérée comme une enveloppe, un déguisement. Habiller les objets de couleurs, c’est leur donner une matérialité, une sensualité, nous procurant des émotions intenses.

Les couleurs véhiculent également des codes qui influencent notre environnement et notre comportement. L’exposition met ainsi à l’épreuve la notion de genre dans le design contemporain. Peut-on parler d’un environnement masculin aux teintes froides ? D’un monde féminin aux teintes chaudes ? Quel créateur pour chacun de ces deux appartements ?

A la surprise de la couleur s’ajoutent les facéties disséminées dans l’espace. Des objets étonnants se dévoilent dans des interstices, à travers l’obscurité. Dans des niches sont mises en scène des manipulations d’objets, rappelant là aussi le goût pour l’illusion et l’humour.

Ce parcours n’oublie pas d’évoquer le processus de recherche comme d’autres aspects du travail. Des vidéos dévoilent l’attachement à la mécanique et à la construction, aux choix des matériaux et des textures. Des accrochages évoquent les univers qui nourrissent la création. Les cartels permettent de mettre en valeur le travail photographique. En sortant de l’exposition, une maquette de l’espace incarne le goût pour la scénographie.

 

 

 

 

conférences, expos et vernissages du printemps ….

  • à partir du 17 mars : « Perplexe » d’Anais Barrachina, La Muse en Goguette, 68 chemin Boudou, 31140 Launaguet,
    (Peinture – Monotype – Aquarelle)
    Une sélection de mes derniers travaux autour de portraits de femmes, de leur place dans la société, de leur visibilité. Je vous invite à venir rencontrer ces « perplexes » qui se questionnent sur le pourquoi des choses.www.anaisbarrachina.com / www.anabarrachina.blogspot.fr

 

  • mardi 19 à 18h30 : Conférence au CHAA (Centre des Cultures de l’Habiter [CCHa]
    5 rue Saint-Pantaléon, Toulouse) de Pascal Gontier, architecte, enseignant-chercheur, Auteur de « Home », publié en 2018 aux éditions Muséo

    Pascal Gontier milite depuis plusieurs années pour un mode de conception architecturale de l’habitat ouvert et sur mesure.

    Cette méthode a vocation à permettre une implication des habitants dans la conception de leur cadre de vie, et jusqu’à l’expression même de leur identité particulière en façade conjointement avec l’ensemble des autres habitants d’un même immeuble.

  • à partir du 20 mars : Body Double // Répliqûre – Installation vidéo, de Brice Dellsperger et Michel Aubry

    La série des Body Double de Brice Dellsperger a pour motif obsessionnel le corps idéalisé au cinéma. Chaque Body Double rejoue une scène d’un film en introduisant un trouble dans le genre : tous les personnages sont interprétés par un seul acteur, le plus souvent travesti en femme. Par le prisme du cinéma, de la sculpture, du costume, Michel Aubry met en jeu des oeuvres emblématiques de la modernité et s’intéresse à la frontière entre original et copie. Revisitant des films français des années 30 et 40, il produit des Répliqûres, vidéos où chacun des rôles est joué aussi fidèlement que possible par deux interprètes.*Entrée libre* dans les galeries souterraines du théâtre (EXCEPTIONNEL)

    Vernissage le 20 mars à 18h30 au théâtre, en présence de Brice Dellsperger

    Lieux et horaires : Printemps de septembre (2 Quai de la Daurade) du mercredi au samedi de 12h00 à 18h00.

    Théâtre Garonne, tous les soirs de spectacle, à partir de 18h00 et les samedis à partir de 12h00.

 

 

  • Jeudi 21 mars 2019 à 18:30, Vernissage Triennale Estampadura 2019, à espace Saint Cyprien
    56, allées Charles-de-Fitte, 31300 Toulouse, Dans le cadre de la triennale de gravure contemporaine d’Estampadura : les artistes allemands (gravures), Olivier Subra (dessins et gravures)

  •  Vernissage double  le jeudi 21 mars 2019 de 18h00 à 20h30
    Anne Delrez «Recueils» et jacques Barbier «No comment»

    Anne Delrez a introduit très tôt dans sa pratique artistique une réflexion sur l’image pauvre et sans intention plastique. Ses collectes l’ont orientée vers les images venant de l’album de famille, du portefeuille, de la boîte à chaussure retrouvée dans un grenier. Elle cherche depuis une alternative pour ces images vouées à l’oubli, dont plus personne ne veut mais qui portent en elles un peu de notre histoire collective. Elle leur redonne vie et en souligne leur esthétique particulière. JM L
    Exposition présentée du 21 mars au 12 mai 2019
    en partenariat avec La Conserverie, un lieu d’archives, Conservatoire National de L’Album de Famille

    Jacques Barbier travaille avec les photographies perdues, oubliées, ratées, maculées, mutilées, mises au rebut. Il fréquente les bacs des brocanteurs, les poubelles, pour traquer et dénicher des images qui l’étonnent, l’émeuvent, l’interrogent. Il est tel un orpailleur à la recherche de pépites perdues dans les alluvions du temps. Chacune des images qu’il nous montre, a été choisie parmi des milliers d’autres. De l’accident et de l’involontaire, son œil avisé s’oppose à la perte et sait ramener des images à leur singularité, pour les ressusciter et mieux les unir… JML
    exposition présentée du 21 mars au 12 mai 2019

 

Lorsque Smoll est accueilli chez un adhérent c’est toujours l’occasion d’une présentation originale. L’hôte est un acteur essentiel de cette expérience. Il accueille, il rassemble, il propose la connivence, il capte l’attention, il participe avec Smoll à l’élaboration et l’orchestration de ce moment privilégié et inédit de création.
En pénétrant la sphère privée avec des dispositifs de participation et de médiation réinventés, souvent décalés, orchestrés par l’hôte et Smoll, la création contemporaine se manifeste, et se « consomme » autrement, à la recherche d’une dimension empathique aussi « extraordinaire » que familière partagée avec les invités, les artistes et le public.
Pour ce premier événement du printemps, c’est Christine Rousseau, fidèle adhérente depuis 2015, qui reçoit l’éditeur à Toulouse. Un samedi pour découvrir ou redécouvrir les artistes, les œuvres, les multiples, les objets et les projets qui font avancer Smoll. Un samedi unique à partager joyeusement, ponctué de micro événements tels que le défilé des éditions, les commentaires dérangés ou encore l’apéro bavard….

Avec Cécile de Cassagnac, Éric Choisy, Jacques Tison, Hélène Olive, Gérard Fabre, Patrick Meunier, Erin Mcgirr, Pascale Lefebvre, Jim Fauvet, les micro éditions, la Fabrik…

 

  • Samedi 23 mars 2019 de 11:00 à 17:00 Vernissage « Greenwashing » / Performance culinaire à a cuisine

    Esplanade du château, 82800 Nègrepelisse,Programme détaillé du samedi 23 mars :

    11h : Conférence de Xavier Antin

    12h : Vernissage / Performance culinaire des élèves de l’ ISCID – Institut Supérieur Couleur, Image, Design, encadrés par Lei Saito.

    Événements en partenariat avec le Syndicat de Défense de l’ Vin AOC Coteaux du Quercy.

    //// Gratuit / Tout public

    Dans la série des Passagères et dans le cadre Biennale Passage(s) Design, Arts & Transmission , organisée par l’Iscid de Montauban, sur le thème du « vert ».

    Samedi 23 mars, La cuisine propose de vous faire découvrir deux projets artistiques, mis en place dans le cadre de la biennale Passage(s), design, arts & transmission, organisée par l’Iscid de Montauban, sur le thème du « vert » :

    >> Une exposition intitulée « Greenwashing » réalisée par Xavier Antin et les élèves de l’Iscid de Montauban (présentée du 23 mars au 13 avril 2019).
    « Greenwashing », le terme qui titre l’exposition renvoie à la méthode de marketing qui consiste à communiquer en utilisant un argument écologique afin de « blanchir » ou de « verdir » l’image d’une entreprise. Il est ici revisité par Xavier Antin qui encadre, dans les murs du centre d’art, un workshop avec un groupe d’étudiants de l’Iscid de Montauban. Ce projet les invite à réinvestir pendant toute une semaine une technique ancienne et très codifiée, lié à la reliure : le papier marbré. Les motifs marbrés, imitant la pierre, sont obtenus par la flottation de couleurs à la surface de l’eau ou d’une solution visqueuse. Xavier Antin réalise avec les étudiants un certain nombre d’outils permettant de réactualiser le potentiel d’image créé par la technique de la marbrure.

    >> Une performance culinaire des éléves de l’Iscid de Montauban encadrés par Lei Saïto
    Ensemble ils proposent une performance qui fait suite à toute une semaine d’atelier à La cuisine.
    En résonance avec le thème de cette édition, l’artiste proposera un jardin comestible et organique. Les verdures, les rochers et de la terre en matières et recettes différentes, en explorant des produits locaux et biologiques. Le public va être invité à savourer ce nouveau jardin délicieux.

 

 

  • mardi 28 mars ( 18h) Conférence / D’une ville à l’autre [Pierre Roca d’Huyteza] à Ecole nationale supérieure d’architecture de Toulouse 83 rue Aristide Maillol BP 10629, 31106 Toulouse, LOCAL/GLOBAL Conférence #4Saint Félix Lauragais, l’architecture du sol
    D’une ville à l’autreDurant le siècle dernier, l’espace public est resté un impensé des architectes, relégué au rang d’objet technique.
    Depuis quelques décennies, l’aménagement urbain semble redevenir, de temps à autre, un objet d’architecture.
    Mais, au final, qu’est-ce que cela implique ?( les autres conférences  :
    3 avril 2019 : Laurens Loustau
    10 avril 2019 : 360°
    17 avril 2019 : OECO Architectes)

XIXe, art de vivre ….

  • Style Empire :  le très bel hôtel de Beauharnais à Paris, des cygnes dorés s’invitent sur les pilastres qui courent autour de la pièce. Sur la corniche qu’ils supportent, ce sont des aigles, tout aussi resplendissant d’or, qui déploient leurs ailes. Lorsqu’il fut créé, au tout début du XIXe siècle, ce décor n’était en rien anodin

  • la banque de France et ses collections du XVIIIe et XIXe

dentelles architecturales : part 1

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  • les motifs paramétrés …..
  • les enveloppes
  • support/structure
  • résille
  • passerelles
  • modules assemblés
  • chaos

après le pop up store, le pop up city …

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The Heineken Pop-Up City Lounge has just launched at London Design Festival.

The ‘Pop-up City Lounge’ is the second edition in the brand’s ‘Open Design Exploration’ series and was created by twenty young designers from across the globe, crafted in response to suggestions of what the ultimate lounge bar should be from tens of thousands of consumers, who shared inspirational images on Instagram.

Hidden behind the industrial, corrugated iron shell of two forty-foot shipping containers, the ‘Pop-Up City Lounge’ is an intriguing space full of cutting-edge design features created to optimise the nightlife experience. The lounge is a product of the brand’s commitment to exploring social design, a concept that premieres this week in London before embarking on a tour of global nightlife hotspots.

Featuring intricate ‘conversation cocoons’ designed by Victor Hugo Jimenez, delicately blended beer ‘hoptails’, and drinks served in trays constructed from ice, the Lounge shows how cutting-edge design features can improve our nightlife experience.

To see more about the ‘Pop-up City Lounge’ – click here